A Sarlat, elle trouve la possibilité de découvrir un mode d’habitation construit sur la notion de défense, induisant celle de l’enfermement, due aux remparts. La dualité entre le côté positif de la protection et le côté négatif de cet enfermement renvoie aux études réalisées par l’artiste pour l’élaboration de toute son œuvre : l’individu dans la construction de sa propre liberté fabrique toujours son propre enfermement.
extrait de texte de Sarah Mattera – août 2008